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carte-son

carte son

(interne)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

capsule canon ck8

 

CK8, "canon" à monter sur préampli c451 ci-dessous en remplacement de la capsule standard.

Cette illustration donne une idée des différences de taille et de fabrication...

 

 

 

 

 

c451

C451:préampli équipé d'une capsule cardio standard

(échelles respectées CK8/C451)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

d330

D330 utilisé par les chanteurs

(filtres commutables)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

jack

 

Fiche Jack

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

di-box active

Boitier de direct actif

l'art d'enregistrer

 

LES TECHNIQUES DE PRISE DE SON

 

 

Les CONDITIONS locales:

 

Avant même de commencer à parler matèriel, il faut prendre en compte votre environnement, c'est-à-dire l'endroit que vous avez choisi pour effectuer vos prises et l'endroit où vous allez réaliser le mixage, quand ils ne sont pas confondus.

 

Le premier soin à apporter à une prise de son, pour obtenir un bon résultat et pouvoir ensuite réaliser un bon mix, consiste en un traitement acoustique approprié du local!

 

Même si celà peut sembler déconcertant de prime abord, simplement parce qu'on en parle peu, c'est pourtant la condition sine qua non et préalable à tout travail de qualité. Il apparait pourtant plus que souhaitable que la prise de son ne soit pas autre chose que celle de l'instrument considéré !

 

A partir d'ici, vous trouverez en priorité des informations permettant de travailler chez soi, sans pour autant transformer la maison en véritable studio professionnel...ce n'est pas la vocation de ce site.

 

Dans l'optique du "raisonnablement réaliste", les moyens à mettre en oeuvre sont généralement faibles et faciles de réalisation pour qui est un peu bricoleur. (Ici)

 

Règle numéro un: éviter les parallèles.

Qu'il s'agisse des murs, ou du plafond face au sol, deux faces parallèles sont à considérer comme des miroirs qui réfléchissent les sons, créant des ondes stationnaires préjudiciables. Pour pallier cet inconvénient, l'approche consiste à raisonner en configuration trapèzoïdale. Sans entrer dans les détails, le principe reste qu'il faut éviter toutes réflexions indésirables.

Cela peut se faire en disposant judicieusement des éléments absorbants avant réflexion des ondes, en particulier dans le lieu qui sert à contrôler la prise de son et si possible également dans la pièce où se situe la source.

 

 

Carte son (ordinateur)

 

Renseignez-vous sur les problèmes de latence de votre carte son (délai entre ce qui rentre et ce qui sort). Elle doit être idéalement à zéro, cette caractéristique étant aussi fonction de la vitesse de l'ordinateur.

Mais bien sûr, là vous avez ce qu'il faut. Et vous avez arrêté votre choix sur un logiciel intégré type Pro-Tools, Cubase...

 

Un convertisseur analogique/numérique avec deux entrées maximum (boitier d'interface source/ordinateur) de bonne facture peut être suffisant dans bien des cas. Pas besoin, là encore, de dépenser une fortune pour un engin dont vous n'aurez pas l'usage et qui ne fera pas le café, quoique le vendeur vous dise...

 

 

Micros

Avec eux il faut pratiquer beaucoup d'essais. De l'empirisme naissent parfois de grandes choses...

 

Les illustrations de micros portent sur une ancienne gamme d'AKG avec le "D" pour "dynamique" et le "C" pour "condensateur"....

 

Le microphone (capteur de son) est l’un des éléments essentiels de la chaîne électroacoustique dans une prise de son : c’est pourquoi il est indispensable de connaître et de maîtriser cet instrument.

L’achat d’un microphone est souvent compliqué, car on trouve sur le marché une immense gamme de modèles proposés à tous les prix. Il en existe différents types mais suivant les utilisations que vous leur réserverez, les matériels seront bien différents. Un microphone utilisé pour une interview ne sera pas du même type que celui que vous utiliserez pour réaliser une prise de son d’ambiance ou pour enregistrer un instrument de musique, par exemple.

Apprivoisez-le en apprenant à l'utiliser dans toutes les circonstances, sur tous les sons possibles, tâchez de mettre en évidence ses qualités et défauts. N'oubliez pas que l'orientation de la capsule (dans l'axe, décalé, vers la rosace, vers la touche ou les clés d'un instrument) et sa position (en hauteur, en bas...) peuvent changer le son capté pour quelques degrés de rotation...

 

Etudiez bien le processus de génération du son de la source : il n'est pas toujours issu de l'endroit le plus évident...

 

Il existe cinq grandes familles de directivité présentées sous forme de diagrammes polaires (théoriques) ci-dessous. La forme seule du corps peut donner des indications sur sa directivité, seule la notice lèvera le doute.

(Nota: Le point rouge représente le micro et les croquis symbolisent la zone sonore reprise par le capteur vue de dessus)

 

 

Omnidirectionnel:

diagramme omnidirectionnel

Capte à peu près tout ce qui se passe sans privilègier de zone particulière

 

Cardioïde:

cardio

Sa directivité en forme de "coeur" est située dans l'axe, un peu sur les côtés

 

Hypercardioïde:

hypercardio

Moins sensible sur les côtés que la directivité cardioïde, il présente un petit lobe de capture à l'arrière

 

Bi-directionnel:

bidirectionnel

Il s'agit en fait de deux profils de captures cardioïdes montées dos à dos ("figure 8" en anglais)

 

"Canon" ou hyper-directionnel:

canon

Même si le diagramme le montre mal, il s'agit pourtant bien d'un hypercardioïde dont on aurait poussé la sensibilité dans l'axe, et l'appelation de "micro canon" tient au fait que le corps du micro est particulièrement long. Cette conception particulière, dont la présence d'ouïes latérales en arrière de la capsule, permet l'atténuation des sons qui ne sont pas dans l'axe, ce qui le rend particulièrement directif. On pourra exploiter ces caractéristiques pour la chasse aux sons dans la nature par exemple, quand il est difficile d'utiliser une parabole et que la source est relativement distante.

 

Généralement un micro en premier achat présentera au moins deux types de directivité commutables (cardio/bi), ce qui vous laissera déjà une bonne latitude de possibilités.

 

Voilà à quoi ressemble un diagramme de directivité réel proposé par un constructeur (Sennheiser):

 

directivite

A l'étude d'un diagramme digne de confiance, on tirera nombre d'enseignements utiles qui autoriseront un usage efficace

 

 

Lorsqu’on recherche un micro pour une application très spécifique, la découverte du modèle idéal peut prendre des années. Au fil du temps, votre premier micro sera complété par d'autres plus adaptés à vos besoins.

 

Pour les petits budgets, choisir un bon micro dès le départ est la bonne stratégie. Pour cela il n'est pas nécessaire d'exploser le porte monnaie (pour 150 euros vous disposez déjà d'un large choix) ni d'en avoir quatre en réserve.

Prenez-en soin (humidité, chaleur excessive, poussière...); pensez à le ranger dans son coffret de suite après utilisation...

 

Les différents principes de capteur auxquels vous serez le plus souvent confrontés seront:

- les capteurs dynamiques (robustesse, typiquement le micro de chant qu'on tient à la main).

Le principe est grossièrement celui d'un haut parleur utilisé à l'envers (vibration sonore transformée en signal électrique modulé).

Ils présentent bien souvent des particularités dans leur courbe de réponse, notamment aux alentours des fréquences de la voix chantée, appelée communément "bosse de présence" (magnifiée par le close-miking d'un certain Serge Gainsbourg...)

 

- les capteurs electret, plus précisément à "effet electret", qui s'approchent du principe du micro à condensateur ci-après détaillé avec, pour les plus, une meilleure qualité/sensibilité accessibles pour un tarif assez avantageux et pour les moins, une tenue dans le temps qui réserve parfois de mauvaises surprises quant au maintien de cette qualité. Ils ont besoin d'une pile, souvent intégrée au corps du micro.

 

- les capteurs à condensateur. Le principe en est sommairement que l'application d'une onde sonore va créér des variations de valeur aux bornes de la cellule constituée des deux armatures d'un condensateur. Cette variation de capacité est transformée en modulation. Ils ont toujours besoin d'une alimentation dite fantôme, détaillée plus bas.

 

 

Les câbles et types de liaisons

 

En termes de câblage, deux types de liaisons coexistent:

*/* La moins chère, la plus connue aussi, à utiliser entre une guitare et son ampli, est la liaison dite asymétrique. Elle doit rester courte (3 mètres) avec un câble de bonne qualité (âme) bien protégé dans une gaine épaisse et souple terminée par des connecteurs très classiques comme le jack 1/4 de pouce, la fiche RCA...Elle fait transiter le signal par un seul conducteur référencé à la masse.

 

Avantage: le prix, c'est d'ailleurs l'objectif essentiel.

Inconvénients: peut se transformer en antenne, récupère par son principe toutes les perturbations électromagnétiques (d'ailleurs de plus en plus nombreuses...).

Plus techniquement ce genre de liaison est généralement à bas (voire très bas) niveau et haute impédance, exactement ce qu'il faut éviter pour garantir une transmission audio correcte.

 

Attention, encore une fois sur des spécificités "dorées" par le vendeur qui n'auront d'impact fort que sur votre porte-monnaie...

 

 

*/* Pour les distances plus longues il faut absolument utiliser des liaisons symétriques, terminées (ou non) par des connecteurs de type XLR qui assurent entre autres le verrouillage mécanique de la liaison. Le principe en est relativement simple et se fait par voie magnétique (transformateur de symétrisation) ou électronique.

 

L'histoire du parasite, ou pourquoi symétrique c'est mieux...

Première étape, au départ de la liaison, distribuer sur chaque fil la moitié du signal en OPPOSITION de phase avec son autre moitié

Deuxiéme étape: si un signal parasite se superpose pendant le trajet, il le fait dans le MEME sens sur les deux conducteurs...

Troisième étape: manque de chance pour le parasite, la recombinaison des deux moitiés de signal initialement en opposition conduit à son éradication. Fin.

 

Cette fois nous sommes en présence d'une liaison à basse impédance...que les entrées de console apprécient.

 

Avantages : immunité aux bruits, les raccords XLR établissent prioritairement la liaison de masse dans le connecteur, ce qui évite les "plocs" au raccordement, parfois violents, entendus par tout musicien et peuvent aussi établir des liaisons multiples, car il existe une gamme fort vaste, passant par les connexions spécialisées "forts courants" pour les enceintes, la vidéo, la lumière...

Autre avantage, implicite, la possibilté de transporter cette fameuse alimentation fantôme, nécessaire aux micros à condensateurs, qui se balade en fait sur les deux fils actifs, flottante donc non référencée à la masse, d'où le nom.

Inconvénient : le tarif (méfiez-vous des connecteurs "type" XLR qui n'ont emprunté que le nom et pas les caractéristiques électro-mécaniques...forcément attrayants par leur prix anormalement bas: ce ne sont que de pâles copies! A vous de savoir quelle degré d'exigence vous avez, donc à quel point vous risquez de les maltraiter)

 

connect-xlr

Un extrait du très large catalogue de connecteurs XLR

 

 

 

 

LA PRISE DE SON STEREOPHONIQUE

 

Un tableau résumant les différentes possibilités:

 

techniques stéréo

 

Téléchargeable Ici

 

 

 

 

La boîte de directe ou Direct Injection Box

 

Envisageons maintenant une liaison asymétrique à prolonger sur une longue distance, nous utiliserons un boitier de direct (Di-Box) passif ou actif, qui réalisera cette opération de conversion en ligne symétrique. On y trouve souvent quelques interrupteurs (switches) censés améliorer (ou non) la vie du preneur de son, notamment un atténuateur, une clé de modification du régime de mise à la terre permettant d'éviter les boucles de masse génératrices de ronflette et un jack de reprise pour se brancher sur l'ampli en local.

Rien ne permet, à première vue, de distinguer le type de fonctionnement d'après le boîtier. Aucun danger si le 48 Volts fantôme est acheminé à un boitier passif. Oublier de mettre en service l'alimentation sur un boitier actif donnera 'a contrario' une absence de résultat...

 

DI-Box active ou passive ?

Les deux présentent des particularités intéressantes et parfois contradictoires : Pour obtenir la symétrisation du signal en utilisant un transformateur (passif), on peut parfois arriver à un tarif plus élevé que la même version "active". En fait, un (bon) transformateur coûte plus cher à réaliser qu'un circuit imprimé muni de ses composants. Par contre l'isolation est assurée, par le principe même de construction et la boite n'a pas besoin d'une alimentation (source potentielle de problèmes) pour fonctionner.

Nous avons également remarqué à l'usage que la boîte passive autorisait à une basse électrique toute son ampleur, ce qui n'était pas toujours le cas comparé à la boîte active équivalente.

 

ALORS ???

Pour le musicien, home-studiste à ses heures, une Di-Box active de bonne facture (encore!), dont les soudures sont correctement réalisées, (au magasin, à l'essai, jetez-la plusieurs fois par terre et rebranchez-la!) résistante aux chocs donc, devrait vous rendre service de longues années. Choisissez des constructeurs réputés...

Pour les plus fortunés d'entre vous, des Di-box(es) passives d'excellente facture ou à lampe existent. Là, c'est vous qui voyez...

 

 

 

Nous voilà donc maintenant à l'entrée de la console...

Nous avons choisi de discuter de l'écoute ailleurs que sur cette page, pourtant il vous faut bien contrôler ce que vous faites, ce qui passe souvent par un jeu d'enceintes locales et/ou d'un casque.

 

 

Conseils pour le choix du casque

 

Suivant le type d'instrument que vous pratiquez, il serrera plus ou moins fort la tête, sera de préference isolé et surtout de qualité (oui, encore !!!) Pourquoi?

Il doit être le témoin impartial de ce que vous faites,

Vous le porterez sans doute plusieurs heures, donc vous transpirerez...C'est là que le mot qualité prend tout son sens (nettoyage et désinfection des oreillettes, remplacement éventuel de celles-ci, de l'arceau...)

Le câble devra être assez long et souple pour ne pas entraver vos mouvements, pas trop lourd (le poids du fil sur une oreillette est pénible...)

Il sera choisi de préference avec une impédance d'une centaine d'ohms pour ne pas arriver à saturation trop vite (parce que le niveau monte (tout seul?) au fur et à mesure des sessions et que l'oreille fatigue...

Ce que vous entendrez dans le casque devra être le reflet de ce que vos enceintes transmettent (l'effet de proximité mis à part) et ce n'est pas un challenge facile à relever, ni pour les unes, ni pour l'autre (impartialité)...Un casque d’écoute destiné au « monitoring » ne doit pas « flatter » l’écoute mais restituer le plus fidèlement possible le son enregistré. Sa mission consiste à faire percevoir au preneur de son les défauts de son travail dans le but d’y remédier.

 

Pour déterminer votre choix, fixez-vous un budget d'une centaine d'euros et testez le casque avec des morceaux de musique que vous connaissez par coeur, représentatifs de la dynamique et de l'étendue sonore que vous appréciez (partez avec le baladeur sous le bras au magasin, ou mieux un lecteur de CD!!!).

Les grandes marques véritablement spécialisées (Koss, Sennheiser, Beyer, Akg...), qui connaissent le métier et y sont présentes depuis fort longtemps, concurrencent à moitié prix, voire au tiers, le tarif imposé par des constructeurs qui sous-traitent pour l'occasion, par effet de mode, en vous proposant des gouffres financiers, par ailleurs de qualité (souvent) nettement inférieure, au pire égale.

A l'heure actuelle, l'offre est encore une fois pléthorique mais ne croyez rien d'autre que vos oreilles.

 

 

And now, it's up to you

(A vous de jouer!)

 

 

Rappel essentiel: Ce qui est enlevé à la prise ne pourra plus jamais réapparaitre...

(On vous aura prévenu !)

 

 

Ce qu'il faut faire à la prise:

 

Nous allons passer en revue nombre de travers fréquemment rencontrés dans la concrétisation sonore d'une idée qui partait pourtant bien et enthousiasmait votre entourage et vous-mêmes...

 

Idéalement, les effets sont ajoutés en RELECTURE, jamais sur le premier support d'origine, pour se préserver la possibilité de revenir en arrière.

 

A la prise, éviter les corrections qui excèdent + ou - 6dB sinon un rattrapage éventuel sera difficile.

 

Eviter l'usage d'effet ineffaçable, genre pédale insérée, qui vous feront perdre du temps après, une fois dans le mix, quand vous aurez constaté qu'il n'est pas (ou plus) approprié.

 

Eviter l'utilisation de compresseurs d'entrée de jeu. Tout au plus un limiteur, mais la dynamique est déjà affectée en ce cas.

 

N'hésitez pas à doubler voire tripler les prises, non par un copié-collé, mais en rejouant la même chose à côté de la première prise (guitares par exemple), voire en décalant la position du/des micro(s) au fur et à mesure des prises.

 

S'il est prévu un chant, placer dès le départ de la session un chant témoin, strict reflet de la mélodie, sans autres fioritures, impeccablement calé en rythme ou ajoutez-le dès que possible, avant les arrangements en tous cas.

Il sera remplacé à la toute fin des prises par la voix (les?) définitive, éventuellement doublée, elle aussi, le plus parfaitement possible (C'est comme ça qu'on "grossit" une voix sans passer par ce satané "copié-collé" qui lui, n'apporte rien, (pas plus qu'un auto-tune quelconque si ce n'est pour l'effet produit, car un chant faux reste faux...)

 

A l'usage de boîte de direct, essayer de récupérer un son direct instrument, un son direct ampli, un son micro, (multiplier les origines de la même prise). Le choix d'éliminer ou mélanger après en sera facilité et offrira de la souplesse (en plus ça ne coûte rien que quelques octets de plus).

 

 

 

 

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interface audio-usb

Interface audio-usb

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

c414

C414, plusieurs directivités commutables

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

d12

Le D12 un classique pour la prise de son de la grosse caisse

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

d202

D202 sur les toms de bien des batteurs...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

fiches RCA

Fiches RCA dites aussi coaxiales

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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